Au secours : épuisement d’eau dans les oasis du sud-est
Anis ben Elcadi
Le sud-est est très connu par la rareté des pluies et des chutes de neige en raison des changements climatiques mondiaux et locaux, et malgré les précipitations tardives , cette année le sud-est souffre toujours de la pénurie d’eau dans le contexte du manque de projets à flanc de colline qui ont longtemps été sollicités par la société civile pour collecter l’eau des charges d’orages qui commencent souvent Au début de l’automne, son eau se perd dans les sables des déserts, elle cause de grands dégâts aux propriétés publiques et privées et tue des vies humaines sur les routes.
L’eau sous terrain dans le sud-est s’affaiblit d’année en année, donc une véritable politique de l’eau doit être mise en place afin d’éviter la soif qui coûtera des millions pour apporter de l’eau potable dans plusieurs régions du Maroc extrême, et compte tenu de la distribution de vastes étendues de terres pour les personnes ayant des droits, la demande en eau augmente dont le but de créer un développement agricole bénéfique Privé ainsi les demandes de licences augmenteront auprès de l’Agence de l’aquarium afin de réaliser un trou pour extraire de l’eau souterraine à des fins agricoles, selon des décisions établies et relatives au domaine public de l’eau.
La société civile a mis une opposition pour ces types de projets qui affaiblissent de l’eau souterrain, tels que les projets Pastèque à Zagora et les déchets agricoles de «Anonymous» pour Boudnib et guoulmima. Ces projets s’étendront aux groupes de Tingir et Arfoud et aux groupes Raisani, et les vastes terres deviendront inévitablement des domaines entre Errachidia et Koulimah Et entre Errachidia et Erfoud, entre Erfoud et Rissani, entre Arfoud et le groupe Al-Taous .. Au contraire, ces projets se prolongeront jusqu’au fond des sable de l’oasis de Tarsedmin, Hassi al-Bayd, Marzuka, Haroun, et les fils de Zahra, Mazikdah et d’autres oasis adjacentes, ce qui augmentera les dégâts des eaux des mouches et des oasis adjacentes, ce qui augmentera les dégâts causés par les eaux restant ce qui fait l’apparition des scorpions et des serpents.
Tout le monde se précipite pour cultiver des palmiers “Almajhoul” et “Boufakouss”, sans planification par l’état ce qui provoquera demain une crise qui va attaqué ces pâturages et toute cette agriculture n’aura aucune valeure parceque tout le monde y investit pour cultiver les pastèques dont le prix du kilo atteind jusqu’à un dirham et demi et parfois à 5 dirhams par pièce, et par la suite ce prix de vente n’est plus égal à la valeur de l’eau qui a été absorbée.
Donc pour profiter d’une demande de licence pour crevaison auprès des concessions liées au domaine public de l’eau d’attendre l’exposition de la population ou de publier et coller la décision d’ouvrir la recherche publique à une heure précise.
Il faut faire appel à des représentants du bassin hydrographique et des représentants du Bureau régional des investissements agricoles et une visite des lieux sur le terrain et étudier le type de cultures et l’avenir de la commercialisation à long terme et l’impact du projet de trou sur les canaux d’eau intérieur avec des mesures de temps et des études et des statistiques précises entre la rentabilité supposée de la rentabilité et la perte d’épuisement de l’eau à l’avenir afin que les oasis et notifications adjacentes ne soient pas éliminées Ce qui constitue un patrimoine historique, national et mondial en termes de bouclier du Tafilalet pour préserver les équilibres environnementaux au regard des changements climatiques actuels qui auront des répercussions majeures sur les oasis au vu de l’élargissement de la réflexion sur la création des domaines après la descente des bénéficiaires des droits sur les terres.
Anis ben Elcadi