Riyad : Le ministre de la Justice présente la nouvelle vision de la transformation numérique du système judiciaire…
Ouahbi expose à Riyad la nouvelle stratégie de transformation numérique du système judiciaire, qui est fondée sur le principe de « la justice au service du citoyen ».
Dans son allocution prononcée, dimanche 05 mars, à la Conférence internationale sur la justice, tenue à Riyad , sous le thème « l’avenir de la justice à la lumière de la transformation numérique», le ministre a mis en garde des dangers de cette nouvelle vision sur le système judiciaire, car autant elle facilite les services internes de la justice, autant elle représente une menace aux valeurs et convictions fondées depuis des décennies en faveur de ce système et du procès équitable.
« La numérisation est utile pour accélérer et faciliter les procédures, mais peut en contrepartie démolir certaines valeurs, de notre vie privée et de notre humanisme ». a déclaré M. Ouahbi dans ce contexte en ajoutant : « si on compte sur le jugement de la machine dans la majorité des cas, on risque l’annulation d’un rôle majeur et prépondérant qui est celui des convictions personnelles du juge avant de prononcer le verdict ». Il a également indiqué que cette stratégie vise, la numérisation complète du parcours citoyen et de ses activités en gérant la priorité des services demandés dans de meilleurs délais avec une sécurisation des données. Notamment unifier, simplifier et numériser l’administration judiciaire. Renforcer ainsi la communication électronique avec le personnel de la justice et les divers partenaires et assurer la gouvernance des données produites par l’administration judiciaire et en faciliter l’accès.
Dans le même contexte, M. Ouahbi a souligné qu’une approche participative a été entreprise avec divers acteurs, puisqu’une commission ad hoc a été créée composée de représentants du ministère de la justice, du Conseil Supérieur du pouvoir judiciaire, de la présidence du Ministère public, du ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, de l’Agence Nationale de la Conservation Foncière, du Cadastre et de la Cartographie, et de la Caisse de Dépôt et de Gestion CDG, pour accompagner la mise en œuvre des différents chantiers de transformation numérique de la justice. En évoquant les projets de numérisation prioritaires en cours et ceux prévus de mettre en œuvre à court et moyen terme, et qui auront un impact réel et immédiat sur les justiciables et les citoyens.
Pour le succès des ateliers de numérisation, M. Ouahbi a appelé à la nécessité de prendre soin des ressources humaines nationales qualifiées, d’œuvrer sur la formation continue, protéger nos données privées et de les maintenir dans les cadres et programmes nationaux, et ne pas rester prisonniers des techniques et des techniciens de l’étranger.
Très bien Très bien les WAHABITES se mettent a l’IA pour leurs système judicaire, pour moi ils doivent d’abord commencer par abolir le WAHABISME ensuite on peut parler du reste.
Le wahhabisme est une idéologie complexe qui est profondément enracinée dans l’histoire et la culture de certaines régions du monde. La lutte contre le wahhabisme nécessite donc une approche multifacette qui implique des mesures à court et à long terme. Voici quelques idées sur la façon de combattre le wahhabisme :
Éducation : L’une des principales raisons de l’essor du wahhabisme est le manque d’éducation et de compréhension de l’Islam authentique. Il est donc important de fournir une éducation de qualité aux populations locales, en particulier aux jeunes, sur les enseignements authentiques de l’Islam, qui prônent la tolérance, la modération et la coexistence pacifique.
Dialogue interreligieux : Le dialogue interreligieux est une autre stratégie importante pour combattre le wahhabisme. En encourageant les échanges et la compréhension mutuelle entre les différentes religions, les gens sont plus susceptibles de rejeter les idéologies extrémistes qui prônent la haine et la division.
Encouragement de la tolérance : La tolérance est un élément clé de la lutte contre le wahhabisme. En encourageant les gens à respecter les croyances et les pratiques religieuses des autres, on peut aider à créer un environnement pacifique où les idéologies extrémistes ne peuvent pas prospérer.
Lutte contre l’extrémisme violent : La lutte contre l’extrémisme violent est une autre stratégie clé pour combattre le wahhabisme. Cela peut être réalisé en renforçant les mesures de sécurité et en prenant des mesures pour réduire la pauvreté et l’injustice sociale, qui peuvent souvent conduire à l’extrémisme.
Sensibilisation des médias : Les médias ont un rôle important à jouer dans la lutte contre le wahhabisme. Les médias peuvent aider à diffuser des informations sur les pratiques et les enseignements authentiques de l’Islam, ainsi que sur les conséquences négatives de l’extrémisme.
En somme, combattre le wahhabisme est un processus complexe et multifacette qui nécessite des efforts à différents niveaux. En éduquant les populations locales, en encourageant la tolérance, en dialoguant interreligieux, en luttant contre l’extrémisme violent et en sensibilisant les médias, on peut contribuer à affaiblir l’influence du wahhabisme et à promouvoir des valeurs de paix, de tolérance et de coexistence pacifique
Mohamed Talbi était un intellectuel et érudit tunisien qui a écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire et la religion islamiques. Il a également critiqué l’idéologie wahhabite, qu’il considérait comme étant responsable de la propagation de l’extrémisme et de la violence dans le monde musulman. Voici quelques extraits de ses écrits concernant le wahhabisme :
« Le wahhabisme est une doctrine fanatique qui a pour objectif de détruire toutes les manifestations de l’Islam qui ne correspondent pas à sa propre vision étroite et rigoriste de la religion. Cette doctrine ne tolère aucune différence et n’accepte aucune critique, elle est donc dangereuse pour la liberté de pensée et d’expression. »
« Le wahhabisme a contribué à la propagation de l’extrémisme et du terrorisme en soutenant des groupes violents qui prônent une interprétation violente et erronée de l’Islam. Cette idéologie a également favorisé la discrimination contre les femmes et les minorités religieuses, et a encouragé la haine et l’intolérance. »
« Le wahhabisme est une menace pour la paix et la stabilité dans le monde musulman et au-delà. Cette idéologie ne peut être combattue que par une éducation de qualité qui encourage la tolérance, la liberté de pensée et l’ouverture d’esprit. Il est également important de promouvoir un dialogue interreligieux constructif afin de favoriser une meilleure compréhension et un respect mutuel entre les différentes religions. »
« Le wahhabisme est une régression par rapport à l’Islam authentique qui prône la tolérance, la justice sociale et l’égalité entre les sexes. Les véritables enseignements de l’Islam encouragent le respect mutuel, la coexistence pacifique et la résolution pacifique des conflits. Il est temps de revenir à ces valeurs et de rejeter les idéologies extrémistes qui ont causé tant de malheurs dans le monde. »
L’utilisation de l’IA dans le système judiciaire en Arabie Saoudite est relativement nouvelle, mais il y a eu quelques avancées dans ce domaine.
En 2020, le ministère saoudien de la Justice a lancé un programme pilote qui utilise l’IA pour aider les juges à prendre des décisions en matière de droit de la famille. Le programme analyse les dossiers de divorce et fournit des recommandations basées sur les précédents juridiques et les interprétations religieuses. Les juges peuvent utiliser ces recommandations comme point de départ pour leur propre prise de décision, mais ils conservent le pouvoir final de décision.
En outre, l’Arabie saoudite a également lancé une initiative nationale de transformation numérique en 2019, qui vise à moderniser l’ensemble du système judiciaire du pays. L’une des composantes clés de cette initiative est l’utilisation de l’IA pour améliorer l’efficacité et la transparence du système judiciaire. Par exemple, l’IA peut être utilisée pour automatiser la gestion des dossiers et des procédures judiciaires, pour aider les juges à prendre des décisions éclairées, pour améliorer la qualité des traductions juridiques et pour faciliter l’accès à l’information juridique pour les citoyens.
Cependant, il est important de noter que l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire soulève également des préoccupations quant à la protection de la vie privée, à la transparence et à l’équité. Il est donc essentiel que les autorités saoudiennes veillent à ce que l’utilisation de l’IA soit conforme aux normes éthiques et légales.
Pour aider à garantir que l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire saoudien respecte les normes éthiques et légales et répond aux préoccupations liées à la protection de la vie privée, à la transparence et à l’équité. Voici quelques recommandations :
Établir des règles claires pour l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire.
Former des équipes d’experts pour superviser la mise en place de l’IA dans le système judiciaire et assurer sa conformité aux normes éthiques et légales.
L’utilisation de l’IA dans le système judiciaire en Arabie Saoudite est relativement nouvelle, mais il y a eu quelques avancées dans ce domaine.
En 2020, le ministère saoudien de la Justice a lancé un programme pilote qui utilise l’IA pour aider les juges à prendre des décisions en matière de droit de la famille. Le programme analyse les dossiers de divorce et fournit des recommandations basées sur les précédents juridiques et les interprétations religieuses. Les juges peuvent utiliser ces recommandations comme point de départ pour leur propre prise de décision, mais ils conservent le pouvoir final de décision.
En outre, l’Arabie saoudite a également lancé une initiative nationale de transformation numérique en 2019, qui vise à moderniser l’ensemble du système judiciaire du pays. L’une des composantes clés de cette initiative est l’utilisation de l’IA pour améliorer l’efficacité et la transparence du système judiciaire. Par exemple, l’IA peut être utilisée pour automatiser la gestion des dossiers et des procédures judiciaires, pour aider les juges à prendre des décisions éclairées, pour améliorer la qualité des traductions juridiques et pour faciliter l’accès à l’information juridique pour les citoyens.
Cependant, il est important de noter que l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire soulève également des préoccupations quant à la protection de la vie privée, à la transparence et à l’équité. Il est donc essentiel que les autorités saoudiennes veillent à ce que l’utilisation de l’IA soit conforme aux normes éthiques et légales. Pour aider à garantir que l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire saoudien respecte les normes éthiques et légales et répond aux préoccupations liées à la protection de la vie privée, à la transparence et à l’équité. Voici quelques recommandations :
Établir des règles claires pour l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire.
Former des équipes d’experts pour superviser la mise en place de l’IA dans le système judiciaire et assurer sa conformité aux normes éthiques et légales.
Évaluer les impacts de l’IA sur les processus judiciaires, y compris les conséquences pour la vie privée, la transparence et l’équité.
Établir des mécanismes de supervision pour garantir que les décisions prises par l’IA sont équitables et conformes aux normes juridiques et éthiques.
Fournir une formation en matière d’IA aux juges, aux avocats et aux autres professionnels de la justice.
Établir des normes de transparence pour les algorithmes d’IA utilisés dans le système judiciaire.
Protéger la vie privée des individus en veillant à ce que les données personnelles ne soient pas utilisées de manière abusive ou illégale.
Établir des mécanismes pour permettre aux individus de comprendre comment l’IA a été utilisée pour prendre une décision les concernant.
Éviter la création de biais dans les algorithmes d’IA qui pourraient avoir un impact négatif sur certaines catégories de personnes.
Établir des mécanismes pour permettre aux individus de contester les décisions prises par l’IA.
Établir des mécanismes pour permettre aux individus de savoir quand l’IA a été utilisée dans le traitement de leur dossier.
Assurer que l’IA ne remplace pas complètement les juges et les avocats dans le système judiciaire.
Mettre en place des procédures de recours pour les individus qui estiment que leur vie privée a été violée par l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire.
Établir des normes de sécurité pour les données personnelles utilisées dans le système judiciaire.
Établir des protocoles pour l’utilisation de l’IA dans les décisions judiciaires qui affectent la vie des individus.
Éviter l’utilisation de l’IA dans les décisions de peine qui pourraient avoir des conséquences disproportionnées.
Établir des mécanismes pour garantir que l’IA ne soit pas utilisée de manière discriminatoire contre les minorités ou les groupes marginalisés.
Assurer que les décisions prises par l’IA soient compréhensibles et justifiables pour les juges et les avocats.
Favoriser la recherche sur l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire et l’impact de l’IA sur les processus judiciaires.
Établir un dialogue régulier avec les parties prenantes, y compris les citoyens, les avocats et les organisations de défense des droits.l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire suscite des préoccupations quant à la transparence et à l’équité des décisions prises. Il est important de noter que l’utilisation de l’IA doit être soumise à des protocoles stricts pour garantir que les décisions prises soient justes et conformes aux normes éthiques et légales. De plus, l’utilisation de l’IA dans le système judiciaire doit être soumise à une surveillance et à une évaluation régulières pour s’assurer qu’elle ne contribue pas à des violations des droits de l’homme.